SOMMAIRE : 28 tranches
- 1ère tranche :
LE ROMAN DE LA LIBERATION DE MOPOIE ET
BANGAZEGINO, SUITE SANS FIN ?… Mopoie et de Bangazegino, ce sont ces deux
irréductibles résistants à l’arbitraire, victimes de « lettres de
cachet », jetés aux oubliettes et emprisonnés depuis des années à
l’Université Libre de Makala, qu'un prélat inquisiteur du Saint-Office,
crapuleux avéré, le général*** poursuit d'une haine féroce, rageuse et
personnelle, une haine croissant à proportion de leur résistance
- 2ème tranche :
Tika nyoka, boma Zaïrois ! (à
Katongola aussi ?)
- 3ème tranche :
Bousculade au stade Tata Raphaël,
c’est toujours ainsi que ça commence, non ? Et, depuis le 4 janvier 1959,
les supporters de l’AS V.Club sont sur tous les coups ! Faut-il encore
permettre aux gens de se réunir ? Ne devrait-on pas (dans l’intérêt de la
population ?) interdire tous les
matchs de foot et reporter tous les championnats ?
- 4ème tranche :
- 4ème tranche :
Ebeba ebeba ? Sursoir encore
à la diffusion de mon buku et désamorcer mes pralines infamantes et
ridiculisantes alors qu’elles sont toutes prêtes à exploser dans la gueule
des crapuleux et de leurs commanditaires ?
- 5ème tranche :
Un coup de feu tiré en l’air pour
disperser la population touche en plein front une élève de 18 ans (qui, sans aucun
doute, venait de s’envoler comme une perdrix débusquée par un chasseur ?)
http://ssc-03.blogspot.be/2015/02/un-coup-de-feu-tire-en-lair-pour.html
- 6ème tranche :
http://ssc-03.blogspot.be/2015/02/un-coup-de-feu-tire-en-lair-pour.html
- 6ème tranche :
Le départ du deuxième tour cycliste de
la République autocratique du Luabongo est donné par Cravate Rouge, le Premier
Sorcier et Chef du Grand Conciliabule.
http://ssc-03.blogspot.be/2015/03/le-depart-du-deuxieme-tour-cycliste-de.html
http://ssc-03.blogspot.be/2015/03/le-depart-du-deuxieme-tour-cycliste-de.html
- 7ème tranche :
Les carrières minières de Mangi et de
Panga sont placées sous la haute protection militaire de David, de Chinois, de
Tata Mapasa et de Gowa.
- 8ème tranche :
Après avoir été incarcérée pour
identification de son propriétaire, une chèvre délinquante aurait mordu un
autre détenu qui partageait le même cachot.
- 9ème tranche :
LA CANTATRICE ET LE GENERAL*** SONT-ILS
DE CONNIVENCE ? Des dérives dictatoriales auraient-elles infiltré la République
autocratique du Luabongo ? Patrice-Emery Lumumba aurait-il, de nouveau, été
trahi par de prétendus héritiers ? Seskoul serait-il de retour au Luabongo
sous le couvert d’une pseudo Nouvelle Démocratie à la sauce nationale et
souveraine ?
- 10ème tranche :
La Foire internationale d’Expo s'ouvre sur le thème «Les Petites et
moyennes entreprises, moteurs de développement de la RAL» tandis qu’une Foire
de la pomme de terre se tient à Goma.
http://ssc-03.blogspot.be/2015/02/la-foire-internationale-dexpo-souvre.html
- 11ème tranche :
Âgée de 18 mois, Vainqueur Bukaka meurt
asphyxiée au troisième jour de sa détention dans le cachot du sous-ciat de
Matadi Kibala où elle avait été incarcérée aux côtés de son père, suspecté
d’avoir volé une chaise en plastique.
http://ssc-03.blogspot.be/2015/02/agee-de-18-mois-vainqueur-bukaka-meurt.html
- 12ème tranche :
Tandis qu’on commémore le décès d’un
vieux copain et compagnon de lutte Mwamba Bapuwa, assassiné en 2007, les bourgs
autonomes de Lemba et de Bandalungwa se disputent le titre de « Petit
Paris ».
- 13ème tranche :
Le quartier des femmes de la prison de
Kindu manque de toilettes et les prisonnières sont obligées de déféquer dans
des sachets en plastique qu'elle jettent ensuite à l'extérieur. De futures
lanceuses de cacas Molotov ?
- 14ème tranche :
D’une part, trois djeuns non-armés sont
abattus par les FARAL en Ituri alors qu’ils inspectaient leurs pièges à gibier.
Et d’autre part, à Kitona, le commandant de la base militaire tient à souligner
la parfaite intégration des marines américains dans l’environnement Luabongais,
« au point que certains d’entre eux ont même reçu des sobriquets
Luabongais tels que Landu, Mère Double, Mutombo, Jo Balar ».
http://ssc-03.blogspot.be/2015/02/dune-part-trois-djeuns-non-armes-sont.html
- 15ème tranche :
Des ossements humains sont découverts
derrière la porte de la cellule n°7 de la prison centrale de Kongolo, dans le
nord du grand-duché du Katanga. Le directeur de la prison suppose que ces
ossements « datent des années 60 ».
- 16ème tranche :
Je me tiens prêt à diffuser tous
azimuts, par d’incessants coups d’épingle ou en rafales pétaradantes, le
roman-feuilleton que je rédige au jour le jour, impatiemment, depuis le 15
décembre 2013, sur le fonctionnement du système sorcier en République
autocratique du Luabongo et sur les tribulations de Mopoie et Bangazegino et
les persécutions dont ces deux irréductibles résistants à l’arbitraire font
l'objet.
- 17ème tranche :
- 18ème tanche :
TSHAKU S'INDIGNE ET VITUPERE : "ÇA
COMMENCE A BIEN FAIRE ! CYBER-MANIPULATION ET CYBERCRIMINALITE !"
après avoir pris connaissance de mon projet littéraire et avoir parcouru
quelques rushes d’un roman-feuilleton « dont l’auteur lui-même reconnait
qu’il a été conçu comme une arme de combat ! » contre la crapulerie, le
mensonge et la manipulation, l'arbitraire et la barbarie: "Il faut en
finir avec cette histoire de pralines fondantes fourrées à la boule
puante derrière laquelle se cache un complot terroriste de grande ampleur
! »
- 19ème tranche :
Luna Mining nie être
responsable de la mort de plusieurs dizaines de forçats-creuseurs ensevelis
dans la carrière de Lupoto à la suite du comblement des tunnels et galeries
opérés nuitamment par des engins de chantier de l’entreprise.
- 20ème tranche :
Etumba ya ba sorciers :
« Naliaki te ! Bopesa nga part na nga ! » vs « Okozela
trop ! »
- 21ème tranche :
Les concurrents disposaient de trente
minutes pour ingurgiter un poulet entier grillé, deux pains, le contenu d’une
bouteille d’un litre et demi de yaourt et d’une bouteille d’un litre et demi
d’eau minérale mais le « concours de bouffe », organisé à Bunia par
la Radio Télévision Salama en vue de promouvoir les loisirs dans cette ville, a
failli tourner au drame : trois candidats ont été pris de vomissements
tandis que trois autres sont tombés en syncope.
- 22ème tranche :
L'application de la loi d'amnistie a été
sélective et a profité aux membres de groupes armés tels que les Bakata Katanga
et le M23 plutôt qu’aux personnes détenues ou condamnées pour des faits
politiques ou des délits d’opinion.
- 23ème tranche :
Trop d’accidents en tous genres !
En voiture, en train et même en pirogue motorisée ! On devrait interdire
aux gens de voyager ! On devrait (dans l’intérêt de la population ?) restreindre
drastiquement la liberté de circulation des gens !
http://ssc-03.blogspot.be/2015/02/trop-daccidents-en-tous-genres-en.html
- 24ème tranche :
Nzala ? Une soixantaine de femmes
des militaires ont marché dans la cité d’Oïcha pour réclamer le paiement des
soldes de leurs maris, engagés au front depuis deux mois. Plus de cent personnes
parmi les combattants démobilisés, leurs femmes et leurs enfants sont mortes de
faim et de maladie au centre de cantonnement de Kotakoli.
- 25ème tranche :
CRAPULERIES D'ETAT ? Le sergent-major
Arsène Ndabu Ndongala, chauffeur du colonel Mamadou Ndala, est revenu sur la
version des faits qu’il avait donnée au général*** au moment de l’enquête sur
l’assassinat de son chef. Il a été retrouvé mort dans sa cellule, au lendemain
de sa déposition devant la Cour militaire (Au lendemain, que dis-je ? Dans
la nuit même ! Vers 5 heures du matin !)
- 26ème tranche :
Fabregas, le Métis Noir (alias Fabrice
Mbuyulu), dissident de Wenge Musica Maison Mère (ayant quitté Barça qui l’avait
formé pour jouer avec Chelsea), compose la chanson Mascara et lance la
danse Ya Mado.
- 27ème tranche :
Lorsqu’il jugera le moment venu, Jésus
viendra ? Ouais, la Haute Hiérarchie a dit ça… L'autocrate a osé, sans
vergogne, en narguant de façon éhontée le peuple du Luabongo ! Mais si le
scénario venait à être bousculé ? Et s’il se passait tout autre
chose : un peuple qui se lève, des voix qui se font entendre de plus en
plus fort, des gens qui se dressent ?
- 28ème tranche :
ON N'EN PEUT PLUS D'ATTENDRE, ON
SE DEMANDE QUAND QUELQU'UN VA LANCER LA PREMIERE PIERRE...
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AVANT-PROPOS
Des mois et des années d'une attente interminable au Luabongo... On se demande quand Mopoie et Bangazegino seront libérés, on se demande quand quelqu'un va jeter la première pierre !
Des mois et des années d'une attente interminable au Luabongo... On se demande quand Mopoie et Bangazegino seront libérés, on se demande quand quelqu'un va jeter la première pierre !
Des mois et des années dans la merde
Des mois et des années d’une attente interminable et
Des mois et des années d’une attente interminable et
Ndlr (2016) : une attente interminable et interminée qui se prolonge... jusqu'aujourd'hui, soit plus de deux ans après la promulgation de la loi d'amnistie, le 11 février 2014 |
toujours interminée
Voici donc la troisième série de séquences de mon « roman »
qui raconte les tribulations de Mopoie et de Bangazegino. Une troisème série
qui rend compte, de façon aussi exacte que possible :
1. de l'insupportable, interminable et scandaleuse attente de la libération de ces deux champions de la résistance à l’arbitraire
1. de l'insupportable, interminable et scandaleuse attente de la libération de ces deux champions de la résistance à l’arbitraire
2. de l'état général de la sorcellerie du Luabongo dans laquelle la vie et
la mort des gens suivent leur cours, au taux du jour, tandis que les sorciers,
les « services » et les crapuleux continuent de vaquer à leurs
affaires, de marquer des pénalties contre le peuple et de se partager les
dépouilles de la chose publique
3. de l'incroyable esprit de survie et l'extraordinaire ténacité de la population de la République autocratique du Luabongo, des colères qui l'enflamment, des RIIIR qui la secouent, des solutions qu'elle imagine et des luttes qu'elle ne cesse de mener.
4. et des battues aussi (les petits travaux, les débrouilles, les commissions, les cops) que les mpiakeurs organisent chaque jour pour ramener quelque chose à la maison... et des kilomètres et des kilomètres que certains d’entre eux parcourent, à pied, dans l’espoir de rencontrer un « bon samaritain » et de recevoir au moins 2000, 1500 ou 1000 francs luabongais… ata 500 seulement
3. de l'incroyable esprit de survie et l'extraordinaire ténacité de la population de la République autocratique du Luabongo, des colères qui l'enflamment, des RIIIR qui la secouent, des solutions qu'elle imagine et des luttes qu'elle ne cesse de mener.
4. et des battues aussi (les petits travaux, les débrouilles, les commissions, les cops) que les mpiakeurs organisent chaque jour pour ramener quelque chose à la maison... et des kilomètres et des kilomètres que certains d’entre eux parcourent, à pied, dans l’espoir de rencontrer un « bon samaritain » et de recevoir au moins 2000, 1500 ou 1000 francs luabongais… ata 500 seulement
- Nazangi transport ! Palado…
- Kamata ! Mpiaka eza libandi te !
et des kilomètres et des kilomètres qu’ils parcourent encore, au retour, pour réintégrer leurs palais.
- Kamata ! Mpiaka eza libandi te !
et des kilomètres et des kilomètres qu’ils parcourent encore, au retour, pour réintégrer leurs palais.
Des mois et des années d’une attente sans fin ?
Des mois et des années pour rien, sans que rien ne s’arrange, sans perspective, sans même embellie ou une promesse de vie meilleure ?
Vous voulez savoir comment ça se passe ?
Voici donc un "échantillon" : quelques mois de l’existence merdique d'un peuple coincé dans une sorcellerie, à la merci et placé sous la coupe réglée des sorciers, des « services » et des crapuleux...
Voici donc 28 « tranches » de la vie et de la mort des gens en République
autocratique du Luabongo.
UNE RELATION EXACTE, CHRONOLOGIQUE, SANS RIEN CACHER NI RIEN TRAVESTIR
Questionnée parfois, titrée à ma façon ou accompagnée d’un commentaire onirique, gouailleur, burlesque ou extravagant... Na ndenge na ngai (une conversation téléphonique avec ma femme mariée, un dialogue virtuel avec un agent haut-gradé des "services") !, mais jamais romancée.
Questionnée parfois, titrée à ma façon ou accompagnée d’un commentaire onirique, gouailleur, burlesque ou extravagant... Na ndenge na ngai (une conversation téléphonique avec ma femme mariée, un dialogue virtuel avec un agent haut-gradé des "services") !, mais jamais romancée.
Une relation souvent pénible, quelquefois jubilatoire... mais toujours bien
réelle et rapportant des événements qui se sont effectivement déroulés en
République autocratique du Luabongo, entre la mi-février et la
mi-octobre.
Pendant huit mois d'une telle année, bien précise et très facile à
identifier (la catastrophe de Katongola, les expulsions de "Zaïrois",
le deuxième tour cycliste du Luabongo, Ebola dans la zone de santé de Djera,
l'affaire Startimes ayant opposé Tshaku à Bouki l'Hyène, le mort surprenante du
chauffeur du colonel Mamadou Ndala, etc)
Pendant une période donnée d'une année déterminée que je ne me donnerai pas
la peine de chiffrer parce qu'elle ressemble, scandaleusement, à toutes les
autres.
Huit mois d’une année de merde, semblable à la précédente et qui préfigure
la suivante ?
Huit mois puis dix mois
puis un an
puis un an et demi
puis déjà deux ans
et puis quoi encore ? et rien ne s'est passé ? et rien ne se passera
jamais ? on attendra toujours de RIIIR ?
Ce n’est pas sûr du tout ? Les choses bougent, le monde et le pays
changent, un peuple se lève et les opprimés font entendre leur voix?
Vous êtes
perdu(e)s ?
Et vous
vous demandez où trouver un plan de la ville, un menu de la semaine ou une
table des matières quelconque… et comment avoir accès à chacune des
différentes séries de séquences du buku « sorciers, services et
crapuleux » ?
Problème
ezali te, cliquez sur : http://sosecra.blogspot.be/
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